Valérie Gastaldy a eu le nez creux en septembre 2011, en anticipant un repli de la parité euro/dollar et une envolée des rendements des emprunts d'Etat espagnols. Alors qu'elle recommandait à l'époque de privilégier les actions américaines, elle estime désormais que les valeurs européennes devraient tirer leur épingle du jeu. Elle est par ailleurs positive sur les perspectives de l'or.
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Valérie Gastaldy a eu le nez creux en septembre 2011, en anticipant un repli de la parité euro/dollar et une envolée des rendements des emprunts d'Etat espagnols. Alors qu'elle recommandait à l'époque de privilégier les actions américaines, elle estime désormais que les valeurs européennes devraient tirer leur épingle du jeu. Elle est par ailleurs positive sur les perspectives de l'or.